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- Polityka prywatności | Moje Nowosiółki
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Il n'est pas possible d'exercer le droit de supprimer des données personnelles, par ex. si l'Association est obligée par la loi de traiter ultérieurement les données personnelles dans la mesure spécifiée par la loi applicable ou aux fins nécessaires pour établir, faire valoir ou défendre des réclamations ; d.limitation du traitement des données, conformément à l'art. 18 GDPR, c'est-à-dire demander à l'Association de limiter le traitement des données personnelles dans les cas suivants : - l'utilisateur remet en question l'exactitude des données personnelles traitées par l'Association - le traitement des données personnelles est illégal et la suppression des données a été s'y oppose, - l'Association n'a plus besoin des données personnelles mais elles sont nécessaires à l'utilisateur pour la constatation, l'exercice ou la défense d'un droit en justice. 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- Dwór i park angielski Makomaskich. | Moje Nowosiółki
SZLAKIEM NASZYCH PRZODKÓW Trasa Niebieska Dwór i park angielski Makomaskich. Budowę nowego dworu w majątku Żulice i przebudowę istniejącego barokowego ogrodu zainicjował w latach 1824-1828, Wincenty Makomaski, syn Pawła i Anny z domu Chrościkowskiej. Dwór neoklasycystyczny, murowany z cegły i otynkowany, frontem zwrócony na południe. Jest to budynek parterowy, z poddaszem oddanym do zamieszkania, mający w jednej ze swych części piwnice. Dwór zbudowany na planie prostokąta z wysuniętym elementem półkolistym, piętrowym od tyłu. Elewacja frontowa ma trzy pozorne ryzality – na osi i po bokach. Ryzalit środkowy ma nadbudowaną wystawę z trójkątnym szczytem i taras wsparty na czterech kolumnach, pierwotnie ryzalit środkowy był parterowy, z przyściennymi kolumnami i czterokolumnowym gankiem. Ryzality boczne znajdują się w elewacji ogrodowej. Okna na piętrze ryzalitu ogrodowego mają uszate opaski. Dach jest mansardowy. Na uwagę w układzie pomieszczeń żulickiego dworu zasługuje czytelny, typowy dla neoklasycystycznych założeń rezydencjonalnych dwutraktowy układ wnętrz, w którym występuje wyraźne rozgraniczenie na pomieszczenia o charakterze reprezentacyjnym, mieszkalnym i gospodarczym. Od ogrodu środkowy ryzalit ma kształt trójboczny, gdyż obejmuje fragment kolistego salonu, umieszczonego przez autora na głównej osi, za wejściowym hallem. Na zachód od dworu i dotychczasowego barkowego ogrodu powstał na miejscu dawnych zabudowań gospodarczych nowy park w stylu angielskim. Nowe zabudowania gospodarcze wzniesiono wówczas na terenie ogrodu warzywnego położonego na wschód od dziedzińca. Ponadto całą kompozycję powiększono o nowy ogród warzywny położony przy stawie, na południe od parku, wzdłuż drogi do Łykoszyna. Właściciele dworu i majątku Żulice: Wincenty Makomaski - W 1824 roku przejął Żulice i wybudował obecny dwór. Istniejącą już kaplicę uzupełnił nową, murowaną, klasycystyczną nagrobną rodu Makomaskich wzniesioną w latach 1827-1928, przy skrzyżowaniu drogi do Telatyna z drogą do lasu. Za strumieniem, przy skrzyżowaniu dróg do Łaszczowa i Łykoszyna wybudował osadę czworaków dla służby dworskiej, oraz karczmę i browar. Stary barokowy ogród przebudował zachowując drogę biegnąca południową granicą ogrodów. Franciszek Romanowski - Za czasów Franciszka Romanowskiego syna Tekli z Makomaskich dwór i majątek ulegają dewastacji z powodu braku zainteresowania nimi przez właściciela mającego inne dobra w Turkowicach. Antoni Makomaski - W 1852 roku dobra Żulice nabył Antoni Makomaski, który zaczął rozwijać majątek pod względem gospodarczym, jak również wzbogacił dobra dużą hodowlą koni. Pozwoliło to na odrestaurowanie dworu i założenie nowego ogród warzywnego przeznaczonego pod uprawę chmielu. Ogród ten zajmował tereny położone między częścią gospodarczą dworu a drogą do Telatyna. Po 1852 roku wzniesiono też cieplarnie w sąsiedztwie dworu, oraz rządcówkę i spichlerz w części gospodarczej. Władysław Makomaski - W 1876 r. majątek w spadku po ojcu otrzymał Władysław Makomaski, który gospodarzył tu do 1910 roku, następnie dobra przeszły w ręce Edmunda i Marii Makomaskich. I i II wojna światowa Podczas działań I wojny światowej dwór w Żulicach częściowo został zniszczony. W roku 1919 murowaną kaplicę nagrobną Makomaskich zrekonstruowano i zwrócono katolikom. W okresie międzywojennym usunięto zniszczenia zaistniałe w czasie działań wojennych. W ogrodach dokonano nowych nasadzeń uzupełniających, a teren dawnego dziedzińca przed dworem wyposażono w podjazd z gazonem pośrodku. Całość kompozycji zajmowała w tym czasie obszar o powierzchni około 15 hektarów. W czasie II wojny światowej we dworze kwaterował oddział niemiecki. W niewielkiej części mieszkali jego właściciele: wdowa po Wacławie Haliku, ostatnim właścicielu prywatnym majątku Żulice, jej córka Wanda i zięć Ryszard Jankowski. Jankowski był członkiem Armii Krajowej o pseudonimie Ryś i zginął w 1944 roku z rąk UPA podczas obrony Żulic. Po jego śmierci żona i teściowa opuściły majątek. Po II wojnie światowej i przejęciu przez Państwowe Gospodarstwo Rolne dobra zostały mocno zdewastowane. Rozebrano czworaki i większość budynków gospodarczych oraz cieplarnię i rządcówkę. Drzewostan parku częściowo wycięto i zlikwidowano sad. Część parku zamieniono na pola uprawne i łąki. Po 1959 r. majątek przejęła Rolnicza Spółdzielnia Produkcyjna. Od 1964 roku umieszczono we dworze szkołę. Przypisy: AP w Zamościu, Akta hipoteki powiatu tomaszowskiego, Księga hipoteczna nr 90 (Żulice); Słownik Geograficzny Królestwa Polskiego, t. XIV, Warszawa 1894, s. 851; J. Niedźwiedź, Leksykon historyczny miejscowości dawnego województwa zamojskiego, Zamość 2003, s. 650-651.
- Park dworski Tarły | Moje Nowosiółki
SZLAKIEM NASZYCH PRZODKÓW Trasa Zielona Barokowy park dworski kasztelana Tarły Aleja wjazdowa do kościoła w Nowosiółkach jest ulokowana na terenie dawnego barokowego parku, z I połowy XVIII w., wchodzącego w skład posiadłości ówczesnego właściciela wsi kasztelana lubelskiego i starosty stężyckiego Karola Tarły. Do dziś zachowały się pojedyncze okazy starodrzewu zdobiące ówczesny park. O parku i ogrodach dworskich Tarły wspomina Słownik geograficzny Królestwa Polskiego i innych krajów słowiańskich z 1886 roku, w którym czytamy: „W Nowosiółkach był park i ogród angielski kanałem w części opasany”. Karol Tarło wznosi swój okazały pałac, w źródłach konsystorza diecezji chełmskiej określany zamkiem, na miejscu wcześniejszej budowali, związanej zapewne z Grodami Czerwieńskimi. Jest też prawdopodobne, że przebudowuje istniejącą jeszcze w tym czasie budowlę. Pałac Tarły wraz dobrami nowosielskimi w późniejszym czasie, a dokładnie w 1733 roku przejmuje Aleksander Młodecki, który zostaje obligatoryjnym posesorem dóbr nowosielskich - wsi Nowosiółki Pokropiwne i Sahryń oraz części wsi Suszów i Wasylów Pokropiwny. Powiązane było to z brakiem spłaty długu jaki udzielił Młodecki Karolowi Tarle. Następnie majątek przekazywany jest na sukcesorów Młodeckiego przez następnych 40 lat, zaś dwór nowosielski pełnił funkcję ich głównej rezydencji. Chwilowym właścicielem Nowosiółek po zajęciu wsi w posesję obligatoryjną przez zastaw był kanonik gnieźnieński Józef Antoni Łaszcz. Przypisy: J. Niedźwiedź, Leksykon historyczny miejscowości dawnego województwa zamojskiego, Zamość 2003, s. 351; W. Bondyra, Rodzinne opresje Julianny Młodeckiej (1731–ok. 1799). Przyczynek do dziejów przemocy domowej w czasach staropolskich, Kwartalnik historyczny kultury materialnej 68 (I) 2020, s. 71-72; Słownik geograficzny Królestwa Polskiego i innych krajów słowiańskich, Warszawa 1886, t. VII, s. 278.
- Pomnik poległych mieszkańców Gminy Telat | Moje Nowosiółki
SZLAKIEM NASZYCH PRZODKÓW Trasa Czerwona Pomnik poległych mieszkańców Gminy Telatyn podczas II wojny światowej. W lutym 1925 roku Rada Gminy Telatyn postanowiła wybudować na ocalałym fundamencie dawnego pomnika prawdopodobnie rosyjskiego, nowy na pamiątkę odrodzenia polskiej państwowości. 2 października 1932 roku odbyła się uroczystość odsłonięcia pomnika poświęconego Marszałkowi Józefowi Piłsudskiemu w dziesiątą rocznicę zwycięstwa Polski w wojnie polsko-bolszewickiej. Odsłonięcia dokonał gen. Władysław Bortnowski, dowódca 3 Dywizji Piechoty Legionów w Zamościu, a poświęcił Marian Leon Fulman biskup lubelski. W II połowie lat 80-tych pomnik ponownie odbudowano i odsłonięto. Na pomniku znajduje się tablica z nieistniejącego do dnia dzisiejszego pomnika ku czci Józefa Piłsudskiego. Odsłonięto go w okresie międzywojennym. W 2020 roku pomnik został odrestaurowany. Przypisy: www. telatyn.pl
- Skansen Aktywny Stowarzyszenia Moje N | Moje Nowosiółki
SZLAKIEM NASZYCH PRZODKÓW Trasa Zielona Skansen Aktywny Stowarzyszenia Moje Nowosiółki. Skansen powstał w 2019 roku z inicjatywy Sołtysa Daniela Pawłowskiego, który pasjonując się historią i kulturą regionu Grzędy Sokalskiej, Gminy Telatyn oraz okolic Roztocza, postanowił poszerzyć własne zbiory przedmiotów gospodarstwa domowego używanego od początku XX wieku na wsi. Dzięki wielu ofiarodawcom eksponatów historycznych, obecnie w skansenie można zobaczyć jak wyglądała praca w kuźni, gdyż w zbiorach Skansenu, jest duża kolekcja oryginalnych narzędzi do rozgrzewania i kucia metalu. W zasobie znajdują się także: szeroka kolekcja przedmiotów kuchennych w tym, maselniczek, wirówek, wag, cukiernic oraz innych przedmiotów kuchennych, których nie sposób wymienić z uwagi na obszerną ilość. Skansen prezentuje kulturową różnorodność okolic Nowosiółek, dzięki połączeniu bogatej kolekcji eksponatów z troską o niematerialne dziedzictwo regionu. W sposób kompleksowy gromadzi przedmioty związane z dawnym życiem wsi, dworów ale też utrwala wiedzę na temat zwyczajów, obrzędów, tradycji i codziennej pracy ludzi minionej epoki. W skansenie istnieje także, dział wojskowy z kolekcją mundurów, rogatywek, łusek po pociskach, skrzyń po amunicji. Najobszerniejszą kolekcję stanowią czarno-białe zdjęcia obiektów historycznych oraz mieszkańców Nowosiółek, która liczy ponad 300 sztuk.
- Fundamenty cukrowni Tytusa Woyciechws | Moje Nowosiółki
SZLAKIEM NASZYCH PRZODKÓW Trasa Zielona Fundamenty cukrowni Tytusa Woyciechowskiego w Poturzynie. Cukrownia w Poturzynie została założona w 1840 roku przez Tytusa Woyciechowskiego, pioniera przemysłu cukrowniczego na naszych terenach oraz w Polsce. Prawdopodobnie była pierwszą cukrownią utworzoną na Lubelszczyźnie. Zachowanym źródłem o tej inwestycji jest list z 1839 roku Fryderyka Chopina do Juliana Fontany, w którym znany kompozytor pisze o cukrowni: „Woyciechowski do mnie pisał, żebym oratorium komponował. W liście do rodziców odpisałem, czemu fabrykę cukru zakłada, a nie klasztor kamedułów albo dominikanek”. Od początków istnienia cukrowni rozpoczęto kampanię buraczaną i uprawę buraka cukrowego. Woyciechowski potrafił przekonać miejscowych właścicieli do uprawy buraka cukrowego tak skutecznie, że podczas kampanii buraczanej w roku 1844 cukrownia Poturzyn przerabiała buraki nie tylko pochodzące z plantacji Woyciechowskiego, ale także od ziemian z Suszowa, Nowosiółek, Wasylowa, Posadowa, Oszczowa, Kozodaw, Nabroża, Masłomęcza i Starej Wsi. W 1847 roku cukrownia ulega częściowemu zniszczeniu w czasie pożaru, ale dzięki pomocy finansowej okolicznych ziemian, została odbudowana i ponownie uruchomiona. W latach swojej świetności zatrudniała ponad 400 pracowników. W skład budynków cukrowni wchodziły: buraczarnia, stacja wapienna, wieża, krystalizarnia, magazyn, budynek mieszkalny i piec wapienny. Posiadała kotły parowe i wiele nowych w Polsce maszyn i aparatów. Z inicjatywy Tytusa Woyciechowskiego przy cukrowni powstało osiedle dla pracowników, magazyn, kuźnia, stajnia, młyn, a także pierwsza na Lubelszczyźnie droga żelazna (1877) – kolej konna łącząca Poturzyn z Kryłowem. I wojna światowa strawiła całość infrastruktury cukrowni. Do dziś zachowały się pojedyncze elementy fundamentów cukrowni i dwie ramy okienne znajdujące się Skansenie Aktywnym w Nowosiółkach. Przypisy: B. Mikulec, Przemysł cukrowniczy na Lubelszczyźnie w latach 1864 - 1914, Annales Universitatis Mariae Curie-Skłodowska 1991; J. Godlewski, Od prywatnego do państwowego syndykatu. Z dziejów kartelizacji w cukrownictwie w Królestwie Polskim i Cesarstwie Rosyjskim (1887-1914), Studia Podlaskie, t. XII; B. Mardofel, Materiały archiwalne do biografii Tytusa Woyciechowskiego w Archiwum Państwowym w Zamościu, Archiwariusz Zamojski 2008, s. 35 46.
- Trasa Zielona | Moje Nowosiółki
Wędrowanie Szlakiem Naszych Przodków Trasa Zielona O Projekcie Dokąd zmierzamy? Witamy na trasie zielonej. Cieszymy się, że chcesz razem z nami podążać trasą znanych mieszkańców tych terenów. Na trasie poznasz historię rodu Rastawieckich i Woyciechowskich oraz odpowiedź na pytanie dlaczego Fryderyk Chopin był związany z naszymi terenami? Skansen Aktywny w Nowosiółkach. Wędrówkę Szlakiem naszych przodków rozpoczynamy w Skansenie Aktywnym w Nowosiółkach, w którym możemy zostawić auto na parkingu, przesiąść się na rower lub zacząć wędrówkę pieszo. W Skansenie otrzymamy pakiet startowy i dokładne informacje o trasie. Przy wejściu do Skansenu znajdziemy pierwsze oznakowanie QR1 naszej trasy - Skansen Aktywny Stowarzyszenia Moje Nowosiółki. Kierujemy się w stronę centrum Nowosiółek na południowy zachód, w stronę drogi wojewódzkiej nr 852 (1,3 km). Na skrzyżowaniu przy cmentarzu skręcamy w lewo i drogą 852 przejeżdżamy, przechodzimy 210 metrów na wjazd do kościoła. Przy wjeździe do Kościoła na skarpie znajdują się kolejne tabliczki z kodami QR2,3,4,5. Barokowy park Tarły. Cerkiew unicka. Kaplica rodowa Rastawieckich. Dwór Rastawieckich. Po interesującej wizycie w Nowosiółkach i zapoznaniu się z historią miejsca udajemy się w stronę Poturzyna. Drogą 852 kierujemy się na północ, przejeżdżamy koło cmentarza w Nowosiółkach i jedziemy cały czas prosto do Poturzyna, 3,4 km. Poturzyn, cmentarz/ park przy drodze 852. Gdy dojedziemy do Poturzyna po prawej stronie znajduje się cmentarz/ park w którym czeka na nas kolejny punkt z kodem QR6 - Figura Chrystusa Hegla . Następnie skręcamy w prawo na drogę Poturzyn PGR i po 450 metrach dojedziemy, dojdziemy do punktu QR7,8. Stara powozownia i dwór. Cukrownia Woyciechowskiego. Kierujemy się z powrotem na drogę 852 i skręcamy w prawo w stronę centrum Poturzyna. Po 450 metrach po prawej stronie znajdziemy kolejny punkt QR9. Pomnik pomordowanych mieszkańców wsi Poturzyn. Niedaleko dalej, (300 m) po prawej stronie znajduje się Centrum rozwoju wsi im. Fryderyka Chopina i nasz kolejny obiekt z kodem QR10 - Pomnik Chopina. Następnie drogą 852 udajemy się na północ w stronę Witkowa i po 900 metrach na wprost skrzyżowania znajdziemy cmentarz z I wojny światowej i kolejny punkt QR11 - Figura Maryi Hegla. Do Wasylowa kierujemy się na zachód 2,1 km. Tutaj w okolicy krzyża przydrożnego możemy wybrać drogę przez las, ponad kilometr w stronę Gospodarstwa Etnograficznego : skręcamy w prawo do lasu i ścieżką kierujemy się w stronę Gospodarstwa, lub: kierujemy się dalej drogą i po 500 metrach skręcamy na Wasylów. Następnie skręcamy w lewo na Wasylów i jedziemy lub idziemy prosto 1, 4 km. Skręcamy w lewo i jedziemy lub idziemy 700 m. Po 650 m wędrówki skręcamy dalej w lewo. W gospodarstwie etnograficznym w Wasylowie znajdziemy kolejny obiekt naszej trasy z kodem QR12 - Gospodarstwo Etnograficzne Stowarzyszenia Moje Nowosiółki. Po miłych chwilach spędzonych w Gospodarstwie kierujemy się na południe 650 m. Następnie skręcamy w lewo i wędrujemy do Nowosiółek 2, 1 km. Przy krzyżu przydrożnym skręcamy w prawo droga 852 400 metrów. Przy cmentarzu w Nowosiółkach skręcamy w lewo na Suszów 1, 3 km. Trasę zieloną kończymy w Skansenie Aktywnym Stowarzyszenia Moje Nowosiółki. Po więcej wrażeń zapraszamy z tego punktu na trasę czerwoną! kieruj na czerwoną lub Powrót:
- Wczesnośredniowieczne grodzisko w Pos | Moje Nowosiółki
SZLAKIEM NASZYCH PRZODKÓW Trasa Niebieska Wczesnośredniowieczne grodzisko w Posadowie. Grodzisko znajduje się kilometr od zabudowań wsi Posadów, na wysokim cyplu lessowym w dolinie Kamionki. Aktualnie określane jest jako Zamczysko. Gród ma kształt pierścieniowatego majdanu, który w przybliżeniu jest bardziej kolisty. Otoczony jest podwójnym wałem o wysokości 5 metrów i fosą szerokości 8 metrów, ciągnącą się między wałami. W zewnętrznym wale ziemnym od strony północnej najprawdopodobniej znajdowała się brama, o czym świadczy widoczna wyrwa. Osada i grodzisko datowane są na IX do XI wieku. W wiekach późniejszych założono na miejscu wczesnośredniowiecznej osady gródek rycerski na usypanym kopcu. Zbudowano wówczas wały ziemne i zapewne pogłębiono fosę. Gródek rycerski funkcjonował do końca XV wieku. Najstarszym źródłem na temat grodu w Posadowie jest tekst zamieszczony w Słowniku geograficznym Królestwa Polskiego i innych krajów słowiańskich z 1887 roku: „W pobliżu wsi jest nasyp okrągły (kopiec), jak zwykle Szwedom przypisywany, dalej o 500 kroków od wsi jest na półtora morgowej przestrzeni tak zwane zamczysko, opasane podwójnym wałem. W 1837 roku znaleziono tu szyszak, naramiennik, ostrogę i takowe przesłano do gabinetu archeologicznego w Krakowie. W 1858 w r. wykopano tu siekierkę kamienną, a w 1877 drugą siekierkę na polu zwanym Rokitno, gdzie stoi dom straży granicznej. Przy kopaniu rowu znaleziono w garnku glinianym dwa kolczyki, kółko z grubego srebrnego drutu skręcone a w 1878 r. w zamczysku kulę kamienną granitową, średnicy 9 cm. Przedmioty te odsyłano zawsze do Krakowa. Naprzeciw zamczyska, w lesie Rochaj zwanym, jest kurhan 3 sąż. wysoki, na nim rosną dęby, dokoła i mnóstwo małych mogił. Lud zowie to grobem: wodza i rycerstwa". Przypisy: Słownik geograficzny Królestwa Polskiego i innych krajów słowiańskich, t.VIII, Warszawa 1887, s. 841; M. Piotrowski, Grodzisko w Posadowie i jego kontekst, "Rocznik Tomaszowski" t. 4 (2015), s. 7-48.
- IV PIKNIK | Moje Nowosiółki
Piknik Jesienny IV PIQUE-NIQUE HISTORIQUE NOWOSIÓŁKI - AÉROPORT OUVERT ACTIF - 13 JUIN - À 14:00 loi Conduire Dans le cadre du pique-nique, 10 stands uniques ont été préparés, dans lesquels les participants, en particulier les enfants et les adolescents, pourront voir les uniformes et l'équipement des soldats polonais de la Seconde Guerre mondiale ainsi que du XVIIe siècle. Quiconque le souhaite pourra suivre une formation à l'exercice militaire, en apprendre davantage sur les armes historiques et récupérer une réplique d'un sabre du XVIIe siècle. L'événement sera composé des panels suivants : 1. Passage de la frontière à l'entrée de l'aire de pique-nique, il y aura une barrière frontalière gardée par le Tomaszowski Szwadron im. 1er régiment de cavalerie du corps de protection des frontières, où les permis de franchissement de la frontière seront délivrés. Les membres du KOP, après avoir rempli les conditions pour franchir la frontière, laisseront ceux qui le souhaitent visiter le site de pique-nique, où de nombreuses attractions les attendent. 2. Connaisseur militaire - site historique adapté à l'âge et aux capacités du participant, qui comprendra une exposition d'armements et d'uniformes militaires avec des expositions de la guerre. Sur le stand il se tiendra formation militaire, qui aura lieu dans le camp des troupes polonaises de la Seconde Guerre mondiale, présentée par le Groupe de reconstruction historique du WIR. Diorama pour un campement historique, qui sera composé d'éléments de fortifications, d'un mât avec un drapeau blanc et rouge, d'une exposition d'équipements et d'armes. Sur le stand, des reconstitueurs en uniformes historiques animeront une animation pour le public. Il s'agira d'une formation pour les participants au pique-nique, au cours de laquelle les commandes de base de l'exercice militaire de l'armée polonaise seront transmises. 3. Stand sanitaire Hôpital de campagne situé avec le camp de secours reconstruit. Ce stand accueillera une exposition de matériel médical historique. Il y aura des cours de secourisme, de bandage et de raidissement des membres, auxquels participeront les participants au pique-nique. 4. La vie pendant les épreuves de la guerre - une position du Groupe de reconstruction historique Tomaszów Lubelski de la population civile, qui présentera la vie dans les années 1930 et 1940, y compris la mode, les vêtements et la nourriture. Le tout sera situé dans les bâtiments du musée à ciel ouvert avec des outils ménagers et agricoles. 5. Noblesse d'Ordynacka - un camp de dangereux hors-la-loi de Zamość, d'ennemis sanguinaires et de combattants enthousiastes. Il accueille des reconstitueurs tout droit sortis du XVIIe siècle en uniformes militaires complets ainsi que des vêtements féminins colorés avec une exposition d'armes militaires - sabres et pistolets à silex. Combats de sabre, histoires du Zamość du XVIIe siècle et festin avec mets et vins. 6. Militaire de la défense territoriale - un stand sur le 25e bataillon d'infanterie légère à Zamość - faisant partie de la 2e brigade de défense territoriale, qui présentera l'apparence actuelle de l'armée avec une exposition d'uniformes, d'armes et de véhicules utilisés pour le service. intéressés à servir - y compris le type le plus récent de forces armées - pourront obtenir toutes les informations nécessaires sur le service. 7. Passion historique - un lieu où les régionalistes de Roztocze et Grzęda Sokalska, dans leurs histoires, présenteront leur passion pour la culture, l'histoire et la tradition de la région de Lublin. Après les histoires, tous ceux qui le souhaitent pourront parler personnellement aux historiens et échanger des faits intéressants sur leurs lieux. 8. Cuisine folklorique - le pique-nique ne peut pas manquer un endroit avec tous les plats les plus importants de la région de Lublin, préparés par les dames des clubs de femmes au foyer rurales. Pleine de saveurs, la cuisine de Roztocze et Grzęda Sokalska diversifiera le pique-nique avec un spectacle de dames qui consacrent leur temps libre à servir des plats traditionnels. De plus, dans le cadre du pique-nique, une soupe aux pois et des saucisses grillées seront disponibles. 9. Représentations de groupes folkloriques qui interpréteront les chansons patriotiques les plus importantes ainsi que des chansons folkloriques liées à la région de Roztocze. Sur la scène principale, pendant toute la durée du Pique-nique, une équipe de la Commune de Telatyn divertira tous les participants, ainsi que les invitera à jouer et à danser ensemble. 10. Eclaireurs de l'équipe Modrzewo de Telatyn, dirigée par M. Henryk Szaruga depuis le tout début. L'équipe a été établie à côté du gymnase de Telatyn et rassemble de jeunes étudiants qui souhaitent promouvoir la vie dans l'esprit des scouts, aider, travailler pour leurs villes et se retrouver dans des camps communs. Le point culminant du Pique-nique sera la reconstitution historique de la période de septembre 1939, à laquelle participeront plus de 30 reenactors avec uniformes et armes de guerre. Il y aura des tirs, des émotions et une démonstration de courage que les héros de l'époque avaient, qui, abandonnant tout ce qu'ils aimaient jusqu'à présent, sont allés à l'ennemi afin de sauver leur pays bien-aimé du danger. Dans la partie scientifique et compétition, les élèves de l'école secondaire de Łaszczów présenteront leur stand avec le spectacle de programmation OzoBot, l'opération de drone avec le survol du site de pique-nique ainsi que des chants patriotiques et des concours préparés pour les plus jeunes. Avec : Groupe de reconstruction historique WIR Groupe de reconstruction historique dont le mécène est le lieutenant Konrad Bartoszewski pseudo. "WIR" le héros des combats partisans à Roztocze. Un groupe qui transmet depuis de nombreuses années aux habitants de la région de Lublin ce qu'est la passion historique, la mémoire des héros de la lutte pour une Pologne libre et l'amour de montrer les événements historiques les plus importants pour nos terres à travers des dioramas et des reconstruction. Nous pouvons rencontrer les membres du groupe lors des événements les plus importants, notamment reconstitution de la bataille de Tomaszów Lubelski, anniversaires de la bataille d'Osuchy ou des combats de Szczebrzeszyn. Tomaszowski Szwadron im. 1er régiment de cavalerie du corps de protection des frontières Des membres en uniforme du groupe de reconstruction historique ont accueilli le pique-nique dès le début et ont été les premiers à nous montrer l'apparition des troupes du KOP, qui ont été les premières à s'opposer aux attaques hostiles contre la Pologne en septembre 1939. L'amour pour la patrie qui sommeille dans les membres de l'escouade est un modèle à suivre, car de manière directe, vous pouvez savoir à quoi ressemblait le service dans les rangs du KOP, quel type d'armes existait pendant la Seconde Guerre mondiale. Groupe de reconstruction historique de la population civile Tomaszów Lubelski La population civile est un groupe de passionnés d'histoire qui souhaitent rappeler le destin, la tradition, la culture, l'habillement et le comportement de la population civile en participant à des reconstitutions, des spectacles historiques et des spectacles folkloriques. . Fondation Banici Zamojscy Une organisation fondée par des personnes passionnées par l'histoire du XVIIe siècle liée à Zamość, le domaine Zamość, les héros de l'époque, Jan Zamoyski et Stanisław Zółkiewski. Les membres de l'organisation jouent le rôle de personnages du XVIIe siècle, à travers les vêtements, l'armement avec des armes à feu et des armes blanches, et le comportement directement du noble Zamość. Lorsque la situation l'exige, l'organisation aide les personnes dans le besoin et soutient des initiatives régionales, notamment un soutien lié à la publication de livres sur Roztocze. Le groupe organise le "Potyczka o Zamczysko", auquel participent également de nombreux autres groupes ayant une passion similaire pour l'histoire. Régionalistes de Roztocze et Grzęda Sokalska Janusz Sławiński - un habitant de la commune de Telatyn, passionné par l'histoire de la commune et de Grzęda Sokalska. La passion pour l'histoire est démontrée par M. Janusz en recherchant des événements historiques importants, la photographie et l'histoire vivante transmise par les personnes âgées et liée à incl. avec Poturzyn, Tytus Woyciechowski, Telatyn et Posadow. Zdzislaw Pizun résidant à Lubycza Królewska, diplômée en histoire de l'Université pédagogique de Rzeszów. Dans les années 1988-2011, professeur d'histoire dans la commune de Lubycza Królewska, en 2003 instructeur au Centre communal de culture, de sports et de tourisme de Lubycza Królewska. Historien, régionaliste, publiciste, éditeur, éditeur, animateur culturel, journaliste, co-auteur et auteur de plusieurs livres régionaux, brochures et articles historiques, y compris co-auteur d'articles scientifiques dans le "Rocznik Tomaszowski" (2016-2020) et le auteur de l'étude collective "Ziemia Lubycka" »(2017). Co-éditeur de la publication « De Zamość à Lviv. Esquisses historiques et littéraires "(2020)," De Zamość à Lviv (2021), Membre de la Société régionale Dr. Janusz Peter de Tomaszów. Rédacteur en chef du portail Internet "Tomaszów Lubelski-Bełz-Rawa Ruska". Honoré Activiste culturel (2003). Sławomir Litkowiec - un habitant de Grzęda Sokalska de Żerniki, un amoureux de la culture, de la tradition et de l'histoire des communes de l'est de Lublin, qui transmet sa passion sur les réseaux sociaux à travers des articles, des descriptions d'événements historiques et la restauration de lieux importants de l'histoire, y compris des monuments oubliés. M. Sławomir est diplômé de l'Université catholique de Lublin, et pour ces raisons, il est proche de la région de Lublin et une passion historique associée au lieu de résidence, d'autant plus qu'il est associé au portefeuille régional Tomaszówska, qui publie descriptions de l'histoire du quartier de Tomaszów. 25e bataillon d'infanterie légère à Zamość - faisant partie de la 2e brigade de défense territoriale L'unité des forces de défense territoriales est la plus jeune de la formation de l'armée polonaise, dont la tâche est d'opérer dans les zones régionales, où elle est toujours la première à fournir une assistance à ceux qui en ont besoin, par ex. catastrophes naturelles, et plus récemment, aide à la vaccination contre le COVID-19. Les militaires veillent à la sécurité du pays, sécurisent les lieux les plus importants pour le pays, et sont une nouvelle opportunité pour les jeunes qui souhaitent vérifier leur forme physique. Clubs de femmes au foyer rurales des régions de Roztocze et Grzęda Sokalska Le stand des dames des Clubs de femmes au foyer rurales qui, dans le cadre du maintien de la tradition et de la culture, préparent des plats régionaux, habillent des costumes folkloriques et organisent diverses manifestations liées à la vie à la campagne. Les dames consacrent leur temps libre à diffuser la tradition dans les villageois, qui se développe depuis de nombreuses années et devient une passion aussi pour les jeunes qui veulent agir au profit de leurs villes. Nous serons honorés de leur présence par les dames de KGW Neighbors de Łaszówka et le groupe de chant "Neighbours" qui forment ensemble un seul organisme, portant parfois des vêtements traditionnels, parfois un tablier de chef et parfois un pantalon de "travail". Il fonctionne depuis plus de 40 ans. La présidente est Alicja Babiarz, belle-fille des fondateurs du cercle, Irena et Mieczysław Babiarz. Ils organisent régulièrement Midsummer Night, Women's Day et Christmas Wafer Meetings. Ils sont impliqués dans divers projets, campagnes caritatives, coopèrent avec l'école, avec les pompiers du service d'incendie volontaire, les sportifs et les fans de GKS "Pogoń 96" Łaszczówka et l'Association des initiatives sociales pour le développement du village de Łaszczówka. Ils écrivent et mettent en œuvre des projets tels que "Renouveler la réserve de Piekiełko" et "Comme avant - danses de mariage" École secondaire de Łaszczów Des élèves du lycée de Łaszczów, accompagnés d'enseignants, présenteront les attractions scientifiques qui attendent les élèves du lycée, notamment la programmation d'OzoBots, la formation au fonctionnement des drones et la formation au futur métier de garde-frontière. Des concours et des chants patriotiques auront lieu au stand de l'école.
- Cerkiew świętego Demetriusza. | Moje Nowosiółki
SZLAKIEM NASZYCH PRZODKÓW Trasa Czerwona Cerkiew świętego Demetriusza. Nieistniejąca drewniana cerkiew pod wezwaniem świętego Demetriusza wzniesiona została w roku 1730. Była świątynią unicką. W dokumentacji Konsystorza diecezji chełmskiej i znajdujących się w niej protokołach z wizytacji cerkwi przynależących do diecezji z 1759 roku, znajdujemy opis świątyni. (...) cerkiew drewniana, w dobrym stanie, trzy kopułowa, z krzyżem, kryta gontem. Przy samych ścianach gontem obita. W babińcu drzwi na biegunach, z trzema dzwonami. Drzwi do nawy z żelaznych zawiasach z zamkiem. Podłoga drewniana w dobrym stanie (...). Kolejnym źródłem jest podobny protokół z 1761 roku, który odnotowuje ją jako świątynie parafialną, należącą do dekanatu uhnowskiego. W końcu osiemnastego stulecia cerkiew była filią parafii w Telatynie. W 1875 roku, w ramach kasaty unii brzeskiej została siłą wcielona do kościoła prawosławnego. Służyła wiernym do roku 1915. W okresie międzywojennym była zamknięta. Po II wojnie światowej została rozebrana. Cmentarz. Wokół cerkwi istniał cmentarz cerkiewny. W I poł. XIX wieku założono drugi cmentarz poza terenem cerkiewnym. Miał kształt czworoboku o powierzchni 0,12 ha. Użytkowany był do 1947 roku. Przypisy: ● W. Kołbuk, Kościoły wschodnie w Rzeczpospolitej około 1772 roku, Lublin 1998, s. 310; ● D. Kawałko, Cmentarze województwa zamojskiego, Zamość 1994, s. 231; ● J. Niedźwiedź, Leksykon historyczny miejscowości dawnego województwa zamojskiego , Zamość 2003, s. 415-416.
- Stara powozownia dworska. | Moje Nowosiółki
SZLAKIEM NASZYCH PRZODKÓW Trasa Zielona Fot. Michael Noble Fot. Mirosław Jaremczuk Stara powozownia dworska. Jedyną pozostałością kompleksu parkowo-dworkowego Tytusa Woyciechowskiego jest stara wozownia datowana na rok 1840. Murowany dwór Tytusa Woyciechowskiego został gruntownie przebudowany w latach 1840 - 1850. Najstarsza parterowa część dworu a właściwie pierwotny murowany dwór swymi początkami sięga II połowy wieku XVIII. Był siedzibą Józefa Woyciechowskiego herbu Rawicz ojca Tytusa Woyciechowskiego. Obok skromnego klasycystycznego budynku XVIII-wiecznego Woyciechowski wzniósł nowy dwór o dwóch kondygnacjach, o wiele bardziej okazały. Obydwa dwory stary i nowy połączył zabudowanym łącznikiem. Dwór pierwotny stał się zachodnim skrzydłem całej rezydencji. Wejście do tej części poprzedzał portyk z dwoma kolumnami. Korpus główny dworu był dwukondygnacyjny, zbudowany na planie prostokąta, z wysokimi suterenami. Budynek pokryty był gładkim, czterospadowym dachem, z dwiema półokrągłymi lukarnami. Parter i piętro posiadało prostokątne okna, oraz balkony z żelaznymi balustradami. Jako przedłużenie głównego korpusu dworu w kierunku wschodnim wybudowana została oranżeria o dziewięciu wysokich arkadach. Na parterze mieściło się oprócz pomieszczeń gospodarczych kilkanaście pokoi. Na piętrze pod głównym korpusem ulokowanych było kilka pokoi dedykowanych gościom. Reprezentacyjny główny salon dworu znajdował się w skrzydle najstarszym, w narożniku północno - zachodnim. W salonie tym koncertował w 1830 roku Fryderyk Chopin, będąc w Poturzynie. Salon wyposażony był meblami w stylu Ludwika XVI. Na ścianach można było zauważyć liczne obrazy, głównie pejzaży dziewiętnastowieczne. Wszystkie pomieszczenia miały ściany malowane gładko, posadzki parkietowe układane w jodełkę, piece kaflowe lub murowane kominki. Bardziej okazałe ściany miały pokoje na piętrze. Zdobiły je freski malowane przez Rybałtowskiego (przedstawiały sceny z turniejów rycerskich). Poturzyński dwór mógł się poszczycić licznymi obrazami i portretami rodzinnymi. Posiadał sporo srebra i starej porcelany. Biblioteka dworska liczyła około 1500 tomów z zakresu ornitologii, historii, ekonomii i nauk okultystycznych. Po I wojnie światowej późniejszy właściciel Poturzyna Włodzimierz Rulikowski zgromadził liczną kolekcję ptaków oraz ich jaj, jak też trofea myśliwskie z Europy i z Afryki. Dwór był otoczony kilkuhektarowym starym parkiem o bogatym drzewostanie, z alejkami: lipową i kasztanową. Na terenie parku wznosił się pochodzący z XVIII wieku murowany lamus. W czasie I wojny światowej dwór ocalał, spłonęły jednak dzieła sztuki, złożone dla bezpieczeństwa w magazynach cukrowni. Pod koniec II wojny światowej dwór został spalony, a park prawie doszczętnie wycięty. Pozostały jedynie pojedyncze drzewa dawnego parku. Park prywatny, rozparcelowany. Folwarczne zabudowania w ruinie. Przypisy: J. Niedźwiedź, Leksykon historyczny miejscowości dawnego województwa zamojskiego, Zamość 2003, s. 399-400; K. Garbacz, Włodzimierza Rulikowskiego albumy pamięci, Zielona Góra 2018, s. 113- 131; B. Mardofel, Materiały archiwalne do biografii Tytusa Woyciechowskiego w Archiwum Państwowym w Zamościu, Archiwariusz Zamojski 2008, s. 35-46.
- Gospodarstwo etnograficzne z 40 lat | Moje Nowosiółki
SZLAKIEM NASZYCH PRZODKÓW Trasa Zielona Gospodarstwo etnograficzne z 40 lat XX wieku. W skład gospodarstwa wchodzi budynek mieszkalny, wzniesiony z drewna dębowego, należący niegdyś do Marii i Stanisława Pawłowskich. W wewnątrz znajduję się piec kaflowy na którym przygotowywane są tradycyjne dla Lubelszczyzny dania oraz oryginalne wyposażenie domowe z łóżkami, szafą, dywanami, stołem i żyrandolami. W pokoju będącym sypialnią dla dzieci, wykonano wystawę fotograficzną poświęconą miejscowości jak i dawnym właścicielom. W skład gospodarstwa wchodzi także dawna obora dla bydła i koni wraz z kurnikiem i letnią kuchnią. Wszystko wykonane jest z pustaków żużlowych i czerwonej cegły. Największym budynkiem jest stodoła w której znajduję się także piwnica na przetwory i warzywa. Po środku umiejscowiona jest studnia składająca się z ponad 15 kręgów betonowych. Gospodarstwo znajduję się ku źródeł rzeki Kmiczynki, która rozpoczyna bieg po całej zachodniej części Grzędy Sokalskiej.